- EAN13
- 9782213706429
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 03/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Fayard 24,00
Une machine à concentrer la richesse, laissant une poignée de vainqueurs face
à une armée de vaincus : voilà ce qu’est devenu le capitalisme. L’État-
providence n’aura duré qu’une saison, la révolution technologique en cours
réduit le marché de l’emploi.
Le court-termisme règne en maître, la défense de privilèges aussi exorbitants
que médiocres bloque toute tentative de sauvetage.
La finance et l’économie pouvaient être réformées au lendemain de
l’effondrement de 2008. Rien n’a été fait. Le verdict est sans appel : nous
n’apprenons pas de nos erreurs ! Si bien qu’aujourd’hui, se débarrasser du
capitalisme est devenu, pour l’humanité, une question de survie.
Paul Jorion propose une analyse sans concession et des pistes d’espoir : oui,
la spéculation peut être interdite comme autrefois ; oui, l’État-providence
doit être inscrit une fois pour toutes dans nos institutions ; oui, un projet
européen ressuscité pourrait être le fer de lance d’un véritable redressement
! Seule la volonté fait défaut.
Anthropologue et sociologue de formation, Paul Jorion révolutionne depuis dix
ans le regard que nous portons sur la finance et l’économie. Son récent
ouvrage, Le dernier qui s’en va éteint la lumière, a d’ores et déjà laissé sa
marque
à une armée de vaincus : voilà ce qu’est devenu le capitalisme. L’État-
providence n’aura duré qu’une saison, la révolution technologique en cours
réduit le marché de l’emploi.
Le court-termisme règne en maître, la défense de privilèges aussi exorbitants
que médiocres bloque toute tentative de sauvetage.
La finance et l’économie pouvaient être réformées au lendemain de
l’effondrement de 2008. Rien n’a été fait. Le verdict est sans appel : nous
n’apprenons pas de nos erreurs ! Si bien qu’aujourd’hui, se débarrasser du
capitalisme est devenu, pour l’humanité, une question de survie.
Paul Jorion propose une analyse sans concession et des pistes d’espoir : oui,
la spéculation peut être interdite comme autrefois ; oui, l’État-providence
doit être inscrit une fois pour toutes dans nos institutions ; oui, un projet
européen ressuscité pourrait être le fer de lance d’un véritable redressement
! Seule la volonté fait défaut.
Anthropologue et sociologue de formation, Paul Jorion révolutionne depuis dix
ans le regard que nous portons sur la finance et l’économie. Son récent
ouvrage, Le dernier qui s’en va éteint la lumière, a d’ores et déjà laissé sa
marque
S'identifier pour envoyer des commentaires.