- EAN13
- 9782913947214
- Éditeur
- Silène
- Date de publication
- 05/02/2013
- Collection
- L'Artisan philosophe
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Silène 16,00
« Mais justement, s’il est question de mort, parlons de la vie : c’est urgent.
» En 1958, Jacques Lusseyran s’installe en Virginie pour y devenir enseignant.
Là, il convoque ses souvenirs, de sa déportation en 1944 à Buchenwald au
présent américain. Dans la continuité chronologique d’Et la lumière fût
(réédité avec succès par Le Félin en 2008), Jacques Lusseyran poursuit le
récit de son existence, en élargissant toutefois l’expérience personnelle à
une pensée plus vaste et forgée au fil d’un noble empirisme. Les thèmes
évoqués vont du silence, à la poésie, en passant par la mémoire,
l’enseignement et l’auditoire ou encore la notion de liberté intérieure. Comme
une succession de longs aphorismes, les chapitres et la langue sont précis,
faits de généreuses apostrophes au lecteur – une invitation à contempler la
simplicité. Le monde commence aujourd’hui demeure une somptueuse leçon de
résilience et un chant d’amour à la vie, dont la quête a lieu partout, tout le
temps, du vestibule de l’enfer aux immensités américaines.
» En 1958, Jacques Lusseyran s’installe en Virginie pour y devenir enseignant.
Là, il convoque ses souvenirs, de sa déportation en 1944 à Buchenwald au
présent américain. Dans la continuité chronologique d’Et la lumière fût
(réédité avec succès par Le Félin en 2008), Jacques Lusseyran poursuit le
récit de son existence, en élargissant toutefois l’expérience personnelle à
une pensée plus vaste et forgée au fil d’un noble empirisme. Les thèmes
évoqués vont du silence, à la poésie, en passant par la mémoire,
l’enseignement et l’auditoire ou encore la notion de liberté intérieure. Comme
une succession de longs aphorismes, les chapitres et la langue sont précis,
faits de généreuses apostrophes au lecteur – une invitation à contempler la
simplicité. Le monde commence aujourd’hui demeure une somptueuse leçon de
résilience et un chant d’amour à la vie, dont la quête a lieu partout, tout le
temps, du vestibule de l’enfer aux immensités américaines.
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