1, Classification phylogénétique du vivant - Tome 1 - 4e édition

Lecointre guillaume/le guyader herve/visset dominique

Belin

  • Conseillé par (Libraire)
    30 mai 2017

    Manie classificatoire

    Certes, au quotidien, la Classification phylogénétique du vivant (mais si, le classement des êtres vivant en grandes familles!) peut ne pas sembler absolument indispensable.
    MAIS:
    1- On apprend quantité de mots. Haplocnémates, Octocoralliaires et clupéocéphales, ça existe vraiment.
    2 - On révise son grec et son latin. Et ça, pour jouer au scrabble ou aux mots croisés, c'est formidable,
    3 - Cela permet de faire le malin en société. Un recrutement, un rencard, une invitation à passer des vacances dans un endroit fabuleux, parfois, ça peut tenir à la connaissance des différences entre les pongidés et les homininés!
    4 - on découvre ses proches, plus ou moins lointains: quelle émotion de se découvrir un cousinage avec le lapin et le toupaye des Philippines. Plus jamais vous ne regarderez un ver de terre, une méduse, un chat ou votre voisin sans vous demander quelle place il occupe dans l'arbre de la vie!

    Sans oublier que ça satisfait tous ceux qui adorent les cabinets de curiosités et ça peut même soigner (ou amplifier) la manie de ceux qui aiment ranger!
    Typiquement, un livre dans lequel on se plonge avec beaucoup de craintes et qui nous hypnotise pendant des heures!
    Merci aux Editions Belin pour la publication de ce type de livres un peu fous.