- EAN13
- 9782363081841
- ISBN
- 978-2-36308-184-1
- Éditeur
- Arléa
- Date de publication
- 29/05/2019
- Collection
- Arléa-poche (PAR 000249)
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 18 x 11,1 x 0,8 cm
- Poids
- 87 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le sol inondé, à certaines périodes de l'année, d'un café vénitien, sous les Procuraties ; le service de porcelaine blanc et orangé du café Greco à Rome ; les murs de miroirs et de mogano, acajou sombre et poli, du Baratti à Turin... C'est à la fascination pour ces endroits immatériels, transitoires par essence, que ce petit livre veut donner corps.
Le sol inondé, à certaines périodes de l'année, d'un café vénitien, sous les Procuraties ; le service de porcelaine blanc et orangé du café Greco à Rome ; les murs de miroirs et de mogano, acajou sombre et poli, du Baratti à Turin... C'est à la fascination pour ces endroits immatériels, transitoires par essence, que ce petit livre veut donner corps. En brassant, sans fausse pudeur, réminiscences, descriptions, anecdotes, bavardages – sinon médisances – sur des rites perdus, des boissons merveilleuses, des muphtis d'Arabie, des amoureux lunatiques et des excentriques de toutes sortes, parmi lesquels le regretté Tabacchino, chien, amateur de café, dont l'émouvant éloge funèbre, qu'on lira ici, fut justement prononcé dans le lieu qu'il hanta, l'air gourmand, le regard vide, une vie durant.
Le sol inondé, à certaines périodes de l'année, d'un café vénitien, sous les Procuraties ; le service de porcelaine blanc et orangé du café Greco à Rome ; les murs de miroirs et de mogano, acajou sombre et poli, du Baratti à Turin... C'est à la fascination pour ces endroits immatériels, transitoires par essence, que ce petit livre veut donner corps. En brassant, sans fausse pudeur, réminiscences, descriptions, anecdotes, bavardages – sinon médisances – sur des rites perdus, des boissons merveilleuses, des muphtis d'Arabie, des amoureux lunatiques et des excentriques de toutes sortes, parmi lesquels le regretté Tabacchino, chien, amateur de café, dont l'émouvant éloge funèbre, qu'on lira ici, fut justement prononcé dans le lieu qu'il hanta, l'air gourmand, le regard vide, une vie durant.
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