- EAN13
- 9782130824404
- Éditeur
- PUF
- Date de publication
- 14/09/2022
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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En 2000/2001, Les programmes « Convention d’Education Prioritaire » de
Sciences Po, ouvraient, à grand renfort de trompettes médiatiques, l’ère de
l’ouverture sociale dans les Grandes écoles françaises. Mais l’ouverture
sociale a-t-elle modifié le visage de l’enseignement supérieur sélectif? Pour
comprendre les effets de ces dispositifs, il ne suffit pas d’étudier les
parcours des quelques étudiants défavorisés qui parviennent à se hisser dans
les Grandes écoles. Il faut se pencher sur les changements engendrés dans
l’organisation et le fonctionnement de ces établissements et sur leur manière
de sélectionner les étudiants. A partir d’une enquête sociologique menée
pendant plusieurs années au sein d’établissements du supérieur (Sciences Po,
ESSEC, Oxford University), cet ouvrage étudie les pratiques de sélection à
l’œuvre dans les filières d’élites et la manière dont l’ouverture sociale a
affecté leur autorité symbolique.
Sciences Po, ouvraient, à grand renfort de trompettes médiatiques, l’ère de
l’ouverture sociale dans les Grandes écoles françaises. Mais l’ouverture
sociale a-t-elle modifié le visage de l’enseignement supérieur sélectif? Pour
comprendre les effets de ces dispositifs, il ne suffit pas d’étudier les
parcours des quelques étudiants défavorisés qui parviennent à se hisser dans
les Grandes écoles. Il faut se pencher sur les changements engendrés dans
l’organisation et le fonctionnement de ces établissements et sur leur manière
de sélectionner les étudiants. A partir d’une enquête sociologique menée
pendant plusieurs années au sein d’établissements du supérieur (Sciences Po,
ESSEC, Oxford University), cet ouvrage étudie les pratiques de sélection à
l’œuvre dans les filières d’élites et la manière dont l’ouverture sociale a
affecté leur autorité symbolique.
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