- EAN13
- 9782221255162
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 18/02/2021
- Collection
- Pavillons poche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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" Les deux hommes partageaient la même enfance diffi cile, le même culte de
leur métier, le même sens de la fraternité. Et, surtout, la même obsession :
transformer l'existence en œuvre d'art. "André Clavel, L'Express.
Voici un ouvrage resté longtemps méconnu en France, par un des romanciers
anglais les plus populaires du XIXe siècle, Charles Dickens. Pourtant il
retrace le destin d'un clown, certes, mais d'un clown comme on n'en avait
guère vu jusqu'alors.
La vie du grand Joe Grimaldi, son aventureuse carrière, nous dévoilent
quelques-uns des plus curieux aspects des mœurs britanniques, des théâtres aux
bas-fonds. Le hasard, en semant bien des incidents étranges, des rencontres
dramatiques, des péripéties bizarres dans l'existence de ce comédien, semble
s'être complu à lui faire un sort extraordinaire et à le désigner ainsi à
l'attention des biographes.
Et Dickens n'est pas n'importe quel biographe. À vingt-cinq ans et sous le
pseudonyme de Boz, il a déjà prouvé son étonnant talent de conteur. S'il
reprend alors les Mémoires de Grimaldi, c'est sans doute qu'il a reconnu, en
cet enfant prodige, son double.
leur métier, le même sens de la fraternité. Et, surtout, la même obsession :
transformer l'existence en œuvre d'art. "André Clavel, L'Express.
Voici un ouvrage resté longtemps méconnu en France, par un des romanciers
anglais les plus populaires du XIXe siècle, Charles Dickens. Pourtant il
retrace le destin d'un clown, certes, mais d'un clown comme on n'en avait
guère vu jusqu'alors.
La vie du grand Joe Grimaldi, son aventureuse carrière, nous dévoilent
quelques-uns des plus curieux aspects des mœurs britanniques, des théâtres aux
bas-fonds. Le hasard, en semant bien des incidents étranges, des rencontres
dramatiques, des péripéties bizarres dans l'existence de ce comédien, semble
s'être complu à lui faire un sort extraordinaire et à le désigner ainsi à
l'attention des biographes.
Et Dickens n'est pas n'importe quel biographe. À vingt-cinq ans et sous le
pseudonyme de Boz, il a déjà prouvé son étonnant talent de conteur. S'il
reprend alors les Mémoires de Grimaldi, c'est sans doute qu'il a reconnu, en
cet enfant prodige, son double.
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