- EAN13
- 9782364290440
- Éditeur
- Yves Michel
- Date de publication
- 09/04/2012
- Collection
- Démocratie participative
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Créateurs d'utopies : Démocratie, Autogestion, Économie sociale et solidaire
Démocratie – Autogestion Économie sociale et solidaire
Pierre Thomé
Yves Michel
Démocratie participative
Autre version disponible
-
Papier - Yves Michel 22,00
Est-ce que l’autogestion est à ranger dans les oubliettes de l’histoire ?
Pour répondre à cette question, un collectif de militants, coordonné par
Pierre Thomé, est parti à la recherche d’acteurs de mouvements sociaux (LIP,
Larzac, Plogoff, luttes des femmes, luttes dans les quartiers...) qui se sont
inspirés peu ou prou de l’autogestion dans le sens défini par le philosophe
Henri Lefebvre : « Quand un groupe, au sens large du terme, c’est-à-dire les
travailleurs d’une entreprise, mais aussi les gens d’un quartier ou d’une
ville, quand ces gens n’acceptent plus passivement les conditions d’existence,
quand ils ne restent plus passifs devant ces conditions qu’on leur impose ;
lorsqu’ils tentent de les dominer, de les maîtriser, il y a tentative
d’autogestion ».
Ce concept d’autogestion, qui a fait fureur dans les années 1970, bien qu’il
se soit sérieusement estompé depuis, nous amène cependant avec bonheur sur les
chemins de Créateurs d’utopies, ces utopies qui proposent une rupture radicale
avec un système existant. Et nous rencontrons alors avec grand plaisir de
l’engagement, de la passion, des émotions et de l’humour !
Que peut-il y avoir de commun entre les moutons anglais « capitalistes » de
Thomas More et les moutons ardéchois « rebelles » d’Ardelaine, alors que six
siècles les séparent ?
Eh bien, tout simplement l’économie sociale et solidaire !
Cette alternative au capitalisme financier a le vent en poupe mais les
instances politiques ont-elles, en ce moment, vraiment conscience de ce
qu’elle peut apporter, non seulement sur le plan de l’éthique mais aussi sur
d’autres manières de concevoir la vie économique et sociale ?
Pour répondre à cette question, un collectif de militants, coordonné par
Pierre Thomé, est parti à la recherche d’acteurs de mouvements sociaux (LIP,
Larzac, Plogoff, luttes des femmes, luttes dans les quartiers...) qui se sont
inspirés peu ou prou de l’autogestion dans le sens défini par le philosophe
Henri Lefebvre : « Quand un groupe, au sens large du terme, c’est-à-dire les
travailleurs d’une entreprise, mais aussi les gens d’un quartier ou d’une
ville, quand ces gens n’acceptent plus passivement les conditions d’existence,
quand ils ne restent plus passifs devant ces conditions qu’on leur impose ;
lorsqu’ils tentent de les dominer, de les maîtriser, il y a tentative
d’autogestion ».
Ce concept d’autogestion, qui a fait fureur dans les années 1970, bien qu’il
se soit sérieusement estompé depuis, nous amène cependant avec bonheur sur les
chemins de Créateurs d’utopies, ces utopies qui proposent une rupture radicale
avec un système existant. Et nous rencontrons alors avec grand plaisir de
l’engagement, de la passion, des émotions et de l’humour !
Que peut-il y avoir de commun entre les moutons anglais « capitalistes » de
Thomas More et les moutons ardéchois « rebelles » d’Ardelaine, alors que six
siècles les séparent ?
Eh bien, tout simplement l’économie sociale et solidaire !
Cette alternative au capitalisme financier a le vent en poupe mais les
instances politiques ont-elles, en ce moment, vraiment conscience de ce
qu’elle peut apporter, non seulement sur le plan de l’éthique mais aussi sur
d’autres manières de concevoir la vie économique et sociale ?
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