Cette nuit, je l'ai vue
EAN13
9782752910080
Éditeur
Phébus
Date de publication
Collection
Littérature étrangère
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Cette nuit, je l'ai vue

Phébus

Littérature étrangère

Indisponible
Prix du meilleur livre étranger 2014 Veronika Zarnik est de ces femmes
troublantes, insaisissables, de celles que l’on n’oublie pas. Sensuelle,
excentrique, éprise de liberté, impudente et imprudente, elle forme avec Leo,
son mari, un couple bourgeois peu conventionnel aux heures sombres de la
Seconde Guerre mondiale, tant leur indépendance d’esprit, leur refus des
contraintes imposées par l’Histoire et leur douce folie contrastent avec le
tragique de l’époque. Une nuit de janvier 1944, le couple disparaît dans de
mystérieuses circonstances, laissant leur entourage en proie aux doutes. Qui
était vraiment Veronika ? Quelle fut vraiment sa vie ? Que cachait-elle ? Cinq
proches du couple tentent alors de cerner l’énigmatique jeune femme et
délivrent, par fragments, les nombreuses facettes de sa personnalité, et ainsi
reconstruisent son histoire, celle de son mari et celle de la Slovénie. Une
oeuvre polyphonique magistrale ! Drago Jancar est né le 13 avril 1948 à
Maribor, en Slovénie. Opposé au régime communiste et à ses gouvernants, il
connaît la prison. Scénariste, puis éditeur, il est considéré comme le plus
grand écrivain slovène d’aujourd’hui, avec des oeuvres telles que : L’Élève de
Joyce (L’Esprit des péninsules, 2003), Aurore boréale (L’Esprit des
péninsules, 2005), Katarina, le paon et le jésuite (Passage du Nord-Ouest,
2009) et Des bruits dans la tête (Passage du Nord-Ouest, 2011). « Le lecteur
n’oubliera pas de sitôt la lumineuse figure de Veronika à l’innocence écrasée
par la brutalité de la guerre. »Stéphanie Dupays. Le Monde des Livres. «
Continûment servi par une traduction inspirée, le texte aux infinies nuances
de Drago Jančar s’élève à ces hauteurs d’où rayonnent les chefs d’œuvre, qui
éclairent les convulsions de l’Histoire. »Jean-Claude Lebrun. L’Humanité. «
Porté par une écriture aux accents lyriques et construit comme un puzzle, le
récit capte les mouvements de l'Histoire - l'opposition entre les troupes
allemandes et les partisans communistes - sans jamais sacrifier les destins
singuliers des personnages. »Baptiste Liger. L’Express Styles. « En filigrane,
et de manière subtile, ce récit pose la question de la responsabilité de
chacun devant l'Histoire. »Gabrielle Napoli. La Quinzaine littéraire. « Cette
nuit, je l’ai vue est un puzzle qui rassemble le crépuscule et l’aurore.
Chaque personnage a son timbre unique, ses accentuations différentes. Jančar
entend ce qu’il écrit, raison pour laquelle il compte parmi les auteurs les
plus marquants d’aujourd’hui. »Transfuge. « Il nous livre là un roman
magnifique, rédigé d’une plume délicate faisant contraster la dureté de la
guerre et une écriture aussi foisonnante que poétique. »« Les Coups de cœur
Payot ». Le Nouvelliste (Suisse).
S'identifier pour envoyer des commentaires.