Tout ce qu'on ne te dira pas, Mongo
EAN13
9782897123567
Éditeur
Mémoire d'encrier
Date de publication
Collection
Roman/Récit
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Tout ce qu'on ne te dira pas, Mongo

Mémoire d'encrier

Roman/Récit

Indisponible
Le roman de Dany Laferrière compose le vade-mecum du déraciné curieux, avide
de se faire une place parmi ce peuple de l’hiver perpétuel, ivre de ses étés.
Un récit humoristique, faussement goguenard, sur son expérience de lecteur-
flâneur, humeur d’atmosphères. – Jean-Claude Raspiengeas, La Croix Si le livre
semble s’adresser d’abord à Mongo, puis au nouvel immigré au sens plus large,
il se veut aussi un miroir offert aux québécois, à ceux que Dany désigne comme
les natifs. C’est fait avec humour, et beaucoup d’amour. – Danielle Laurin, Le
Devoir Tout ce qu’on ne te dira pas, Mongo se décrit comme une lettre d’amour
au Québec. Un livre dans lequel il mélange joyeusement les genres, lui qui se
dit obsédé par l’idée d’ennuyer son lecteur. On y trouve un dialogue entre un
homme qui connaît aujourd’hui le Québec de l’intérieur et un jeune immigrant,
Mongo, qui veut bien sûr tout conquérir en une nuit (et plus particulièrement
une jeune fille). Conversations interrompues par les notes, observations et
chroniques à la radio de l’homme établi, le tout menant à une espèce de manuel
expliquant comment infiltrer une nouvelle culture. – Chantal Guy, La Presse +
À Mongo qui s’engouffre dans nos petits matins glacés, en émergeant de son
deux et demie, Dany Laferrière demande : « Qui t’avait promis le paradis ? »
L’exil transformera le nouveau venu. Les vieux enfants du sol à son contact
également. D’autres écrivains d’ailleurs mêleront leurs souvenirs aux
découvertes. D’autres émigrés se briseront les ailes sur des murs d’étrangeté,
de nouvelles unions mélangeront leurs racines. Reste à se souhaiter d’offrir à
tout le monde une langue vibrante pour mieux se parler. – Odile Tremblay, Le
Devoir Un livre plein de tendresse – Marie-Louise Arsenault, Radio-Canada/Plus
on est de fous, plus on lit Au jeune Mongo, Laferrière raconte quarante années
de vie. Une longue lettre d’amour au Québec. On retrouve avec plaisir le ton à
la fois léger et sérieux de cet écrivain d’exception, son amour pour le Québec
et pour la vie, son humour fin, sa sensibilité et la qualité du regard qu’il
porte sur l’humain. – Marie-France Bornais, Journal de Montréal
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