- EAN13
- 9782862749730
- ISBN
- 978-2-86274-973-0
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 17/04/2002
- Collection
- Collection Amor fati
- Nombre de pages
- 161
- Dimensions
- 22 x 15,1 x 1,7 cm
- Poids
- 250 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 840.9
- Fiches UNIMARC
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Dieu prenait-il du café ? portraits littéraires du XIXe siècle
portraits littéraires du XIXe siècle
De François Bott
Le Cherche Midi
Collection Amor fati
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De Madame de Genlis (1746-1830) à Georges Darien (1862-1921), voici, par ordre chronologique, une trentaine de portraits littéraires du XIXe siècle. Il y a naturellement Benjamin Constant, Madame de Staël, Chateaubriand, Stendhal, Balzac, Dumas, Nerval, Baudelaire, Flaubert, Verlaine, Maupassant et Rimbaud, mais aussi quelques " seconds rôles " qui méritent d'être mieux connus, comme Joseph Joubert, Charles Nodier, le professeur Sainte-Beuve, Xavier Forneret ou Maxime Du Camp, l'ami de Flaubert.
François Bott nous promène parmi ces grandes figures de la littérature française. Nous leur rendons visite comme à des amis intimes. Nous prenons le thé chez Madame de Staël et l'apéritif chez Verlaine. Cette familiarité avec les monstres sacrés donne le ton du livre. Nous découvrons pourquoi il faut remercier la belle milanaise, Matilde Viscontini, d'avoir repoussé les avances de Stendhal, comment Nerval et Verlaine sont devenus des clochards célestes, comment le jeune Maupassant épatait Flaubert par ses performances amoureuses et sportives, et pourquoi l'impossible Xavier Forneret écrivait à Dieu, pour se plaindre des femmes.
Dieu prenait-il du café lorsqu'il a créé le monde ? C'est sans doute la question que se posait Balzac lorsqu'il passait des nuits blanches pour écrire La Comédie humaine.
François Bott nous promène parmi ces grandes figures de la littérature française. Nous leur rendons visite comme à des amis intimes. Nous prenons le thé chez Madame de Staël et l'apéritif chez Verlaine. Cette familiarité avec les monstres sacrés donne le ton du livre. Nous découvrons pourquoi il faut remercier la belle milanaise, Matilde Viscontini, d'avoir repoussé les avances de Stendhal, comment Nerval et Verlaine sont devenus des clochards célestes, comment le jeune Maupassant épatait Flaubert par ses performances amoureuses et sportives, et pourquoi l'impossible Xavier Forneret écrivait à Dieu, pour se plaindre des femmes.
Dieu prenait-il du café lorsqu'il a créé le monde ? C'est sans doute la question que se posait Balzac lorsqu'il passait des nuits blanches pour écrire La Comédie humaine.
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