- EAN13
- 9782859445607
- ISBN
- 978-2-85944-560-7
- Éditeur
- ED SORBONNE
- Date de publication
- 25/09/2006
- Collection
- Histoire ancienne et médiévale
- Séries
- "De part et d'autre des Alpes"
- Nombre de pages
- 342
- Dimensions
- 23,9 x 16 x 2 cm
- Poids
- 535 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 940.17
- Fiches UNIMARC
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"De part et d'autre des Alpes"
Les châtelains des princes à la fin du Moyen Âge
Dirigé par Guido Castelnuovo, Olivier Mattéoni
Édité par Université de Savoie
Ed Sorbonne
Histoire ancienne et médiévale
Autre version disponible
Autre livre dans la même série
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"De part et d'autre des Alpes", 2, Chancelleries et chanceliers des princes à la fin du Moyen âge, De part et d'autre des Alpes (II)"Presses universitaires de Savoir"
Parmi les agents du prince, les châtelains n'ont guère retenu l'attention de l'historiographie. Le présent volume, qui rassemble les textes des communications présentées lors de la table ronde franco-italienne de Chambéry d'octobre 2001, entend combler une lacune en mettant en avant une figure d'officiers dont le rôle a été essentiel dans l'histoire de la construction des administrations d'État, de la territorialisation du pouvoir princier et de la constitution des sociétés politiques régionales à la fin du Moyen Âge. La comparaison entre principautés françaises et villes-États d'Italie du Nord permet de faire ressortir parmi les châtelains une grande variété de profils, qui ne répond pas seulement à des logiques géographiques. Initialement homme de guerre puisqu'il était attaché à un château, le châtelain a souvent revêtu d'autres visages, de l'administrateur au juge, du receveur à l'enquêteur. Si la vocation militaire a favorisé un recrutement nobiliaire, seigneurial et rural, la fonction n'a pas été l'apanage de la seule noblesse. Parce que la charge de châtelain a parfois été concédée à des créanciers du prince, les élites urbaines ne l'ont pas négligée. Pour le prince, l'office de châtelain a souvent été pensé comme un instrument politique de fidélisation des élites régionales. Plus largement, à travers les différents exemples qu'il étudie, ce livre se veut une réflexion sur les relations entre pratique de l'office, service administratif et pouvoir princier au Moyen Âge tardif.
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