Librairie coiffard

Conseillé par (Libraire)
19 février 2021

Conseillé par Clara, stagiaire de 3ème

"Gardiens des cités perdues" est une saga qui raconte l'histoire de Sophie, une jeune humaine ayant d'étranges pouvoirs. Un jour elle est accostée par un mystérieux jeune homme qui dit l'avoir cherchée pendant des années et qui lui révèle qu'elle est en fait une elfe. Sophie va alors devoir quitter sa famille et son monde pour aller s'installer dans celui des elfes. Elle se fait plein d'amis, elle vit une histoire d'amour et beaucoup d'aventures qui l'aident a découvrir qui elle est, qui sont ses vrais parents et surtout pourquoi elle a été créée... "Gardien des cités perdues" est la meilleure série que j'ai jamais lu. L'histoire est intrigante et addictive, les personnages sont complexes et attachants et l'univers que Shannon Messenger a crée est tout simplement fantastique. J'ai vraiment aimé l'histoire et la façon dont elle arrivait à me faire ressentir les émotions des personnages. Avec sa façon d'écrire et l'univers dans lequel elle m'a plongé pendant 8 tomes, elle m'a conquise et m'a fait adorer cette saga.

Conseillé par (Libraire)
19 février 2021

Conseillé par Clara, stagiaire de 3ème

"Gardiens des cités perdues" est une saga qui raconte l'histoire de Sophie, une jeune humaine ayant d'étranges pouvoirs.
Un jour elle est accostée par un mystérieux jeune homme qui dit l'avoir cherchée pendant des années et qui lui révèle qu'elle est en fait une elfe. Sophie va alors devoir quitter sa famille et son monde pour aller s'installer dans celui des elfes.
Elle se fait plein d'amis, elle vit une histoire d'amour et beaucoup d'aventures qui l'aident a découvrir qui elle est, qui sont ses vrais parents et surtout pourquoi elle a été créée...
"Gardien des cités perdues" est la meilleure série que j'ai jamais lu. L'histoire est intrigante et addictive, les personnages sont complexes et attachants et l'univers que Shannon Messenger a crée est tout simplement fantastique.
J'ai vraiment aimé l'histoire et la façon dont elle arrivait à me faire ressentir les émotions des personnages.
Avec sa façon d'écrire et l'univers dans lequel elle m'a plongé pendant 8 tomes, elle m'a conquise et m'a fait adorer cette saga.

Editions du Sous-Sol

Conseillé par (Libraire)
19 février 2021

Conseillé par Marie-Laure

En 2018, David Grann publiait "La Note américaine", une enquête sur une série de meurtres d’indiens osages, dans les années 1920.
Avec "The White Darkness", il change radicalement de sujet puisqu’il nous raconte l’histoire d’un homme britannique, Henry Worsley. Ancien soldat, il aimait la poésie, la broderie (oui, oui !) et l'aventurier Shackleton. Dans la première partie d’ailleurs, David Grann retrace les célèbres odyssées de ce dernier.
Un siècle plus tard, en hommage à ses prédécesseurs, Worsley et ses deux compagnons effectuent cette même expédition Nimrod de 1908. Notre homme est mordu ! En 2015, il décidera de retourner au pôle sud pour un voyage en solitaire ; il y laissera sa vie.
David Grann retrace des destinées qui nous fascinent. Qui sont ces explorateurs ? Ces rêveurs ? Ces fous ? Ils sont allés là où personne n’avait foulé la terre, ou plutôt la glace. Ils ont puisé en eux une force incroyable. La façon dont Shackleton et Worsley motivaient leurs camarades, prenaient soin d’eux (moralement et physiquement) quitte à tout abandonner pour leur sauver la vie est particulièrement émouvante. Worsley avait toujours en tête cette question : « Que ferait Shacks ? ». Que ferait notre héros ? Un livre agrémenté de nombreuses photographies, avec une couverture géniale et cette citation de Pynchon : « Tout le monde a son Antarctique »

Tove Jansson

La Peuplade

Conseillé par (Libraire)
17 février 2021

Conseillé par Manon R

"La fille du sculpteur" raconte une enfance largement inspirée de celle de Tove Jansson, artiste finlandaise connue pour ses célèbres Moomins. Le livre présente des morceaux de la vie d’une jeune fille qui grandit entre Helsinki et la maison familiale sur une île finlandaise, entourée d’un père sculpteur et d’une mère illustratrice. Chaque chapitre est comme un épisode, une photographie de cette enfance où l’imagination est débordante et sans limites.
Tove Jansson nous plonge dans nos propres souvenirs d’enfants, entre rêveries et créatures mystérieuses, ou simplement au détour d’une cueillette aux champignons en pleine nature. Et quelle nature fabuleuse décrite sous la plume de l’autrice ! On se laisse porter, au gré du vent, au rythme des vagues, mais surtout par l’écriture onirique et poétique de Tove Jansson. C’est doux et d’une grande beauté.

Babylift

Bardet, Marie

editons Emmanuelle collas

Conseillé par (Libraire)
16 février 2021

Conseillé par Stéphanie

C'est étrange comme certains épisodes de notre histoire contemporaine sont passés sous silence, effacés.
Les premières pages de ce roman très touchant nous rappellent les faits : entre les 3 et 26 avril 1975, à quelques jours de la prise de Saïgon par l'armée populaire vietnamienne, le président américain Gerald Ford déclenche l'opération "Babylift". Cette opération militaro-humanitaire permettra d'évacuer plus de 3000 enfants qui seront adoptés dans plusieurs pays occidentaux, dont la France. Le 4 avril 1975, un des avions qui évacue dans l'urgence ces enfants subit une ouverture explosive de sa porte de chargement et finit en quatre morceaux dans une rizière, faisant 138 morts sur les 314 passagers.
Parmi les petits survivants, Marie Bardet imagine Sean et May, des jumeaux métis. Adoptés par deux cousines dans un petit village français, le lecteur les découvre alors qu'ils sont devenus adolescents et qu'un drame vient d'avoir lieu. Un drame dont le jeune Sean semble être le coupable idéal. En enquêtant pour sa défense, l'avocat commis d'office va découvrir un lourd secret qui aura des conséquences irréversibles sur la vie de Sean et May. Sur la vie de Julien aussi, un homme qui vit à la marge et prend le jeune Sean sous son aile.
A travers son roman, qui se lit d'une traite tant l'histoire et les personnages nous agrippent, Marie Bardet met le doigt là où ça fait mal en humanisant avec talent une injustice vieille de presque quarante ans. Elle évoque à travers l'histoire de Sean et May les conséquences du déracinement identitaire en cas adoption trouble, parfois illégale. Elle rappelle la responsabilité des gouvernements occidentaux et le fait que le Vietnam considère encore aujourd'hui "l'opération babylift" comme une vaste opération d'enlèvement. C'est tout le pouvoir de la fiction quand elle est bien maîtrisée : nous atteindre et nous obliger à jeter un regard en arrière.