"La vie, c'est des étapes....
la plus douce, c'est l'amour,
la plus dure, c'est la séparation,
la plus pénible, c'est les adieux,
la plus belle, c'est les retrouvailles." (extrait)
C'est en résumé la belle et très touchante histoire de Louis, adolescent orphelin élevé chez les jésuites, et Clara, jeune et jolie dompteuse d'éléphant, dans un cirque itinérant.
Une BD douce qui émeut tout plein partout !
Amaury

Le jeune policier Erlendur est confronté, pendant ses rondes de nuit, à la mort brutale d'un clochard. Il consacre ses journées à comprendre ce qui est arrivé à cet homme. Quelle est son histoire ? Pourquoi s'est-il retrouvé à la rue ? Pourquoi est-il mort ? Obsédé par ces questions, Erlendur mettra plusieurs semaines à trouver les réponses. Une nouvelle enquête d'Erlendur est toujours une bonne nouvelle et tout particulièrement celle-ci !
Valérie

Jeune professeur d'université, Marianne a l'opportunité de passer quelques mois à l'université du Cap, en Afrique du Sud. Nous sommes en 1967, elle a 26 ans, et découvre l'apartheid dans toute son injustice et sa violence. Mêlant fiction et faits réels, Frédéric Couderc donne à son roman une valeur documentaire et réussi à nous scotcher à l'intrigue jusqu'au cou de théâtre final.
Valérie

D'abord, il y a des paysages magnifiques, ceux de l’Écosse, et une île sauvage balayée par les embruns. Puis il y a l'ambiance, lourde, pesante, parfois teintée de mysticisme, voire de légendes avec cette demeure aux volets qui claquent. Et pour finir, il y a le suspens terrible, sans qu'une seule goutte de sang ne soit versée.
Bref un roman psychologique dans toute sa splendeur. Jamais un roman n'aura aussi bien porté son nom car jusqu'à la fin et même après avoir refermé ce livre, "le doute" est bien là !!!
Karine

Pendant les vacances de Pâques Ruth, jeune fille de 12 ans, se noie dans la Tamassee rivière sauvage au fort débit. Son corps reste coincé dans un ressort hydraulique. Face à la douleur de la famille de Ruth un débat divise la petite ville de Tamassee afin de récupérer le corps. Soit détourner le cours de la rivière en violant la charte nature qui la protège de toute intervention humaine soit attendre l’été que le débit soit moins fort et permette à des plongeurs d’intervenir.
C’est à nouveau un hymne à la nature que nous offre Ron Rash, une nature face à laquelle l’homme est tout petit. Magnifique !
Valérie