- EAN13
- 9782701164960
- ISBN
- 978-2-7011-6496-0
- Éditeur
- Belin
- Date de publication
- 21/03/2018
- Collection
- MONDES ANCIENS
- Nombre de pages
- 800
- Dimensions
- 24 x 17 x 4 cm
- Poids
- 2032 g
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Rome, cité universelle / de César à Caracalla : -70 av. J.-C.-212 apr. J.-C.
Faure, Patrice
Belin
Mondes Anciens
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L’histoire de Rome que dépeint ce volume est celle de l’apogée d’un empire « mondial ».
Comment une petite cité est-elle parvenue à dominer un ensemble de terres s’étendant
de l’Écosse et du Danube au désert africain, de l’Atlantique au Proche-Orient,
et à établir cette domination de manière assez durable pour marquer profondément
l’histoire de tous ces territoires ?
Le succès de la domination romaine tient pour une bonne part à une conception
ouverte de la citoyenneté. Le recensement de 70 av. J.-C. régla un conflit qui avait
opposé Rome aux Italiens, une vingtaine d’années auparavant. Tous les hommes
libres de la péninsule formèrent désormais le populus Romanus. Près de trois siècles
plus tard, en 212 apr. J.-C., Caracalla attribua le bénéfice de la civitas
Romana à tous
les habitants libres de l’empire. Or, durant la période délimitée par ces deux mesures,
les possessions romaines s’étaient étendues bien au-delà des rivages de la Méditerranée.
Cette expansion fut l’oeuvre collective des soldats romains et de leurs chefs.
Garants d’une domination qui se prétendait universelle, et qui avait pour siège la plus
grande ville de l’Antiquité, les princes adaptèrent la Cité au gouvernement du monde.
L’ouvrage retrace cette histoire et restitue la cohérence d’une construction impériale
singulière, qui servit – plus tard – de modèle à bien d’autres empires.
Comment une petite cité est-elle parvenue à dominer un ensemble de terres s’étendant
de l’Écosse et du Danube au désert africain, de l’Atlantique au Proche-Orient,
et à établir cette domination de manière assez durable pour marquer profondément
l’histoire de tous ces territoires ?
Le succès de la domination romaine tient pour une bonne part à une conception
ouverte de la citoyenneté. Le recensement de 70 av. J.-C. régla un conflit qui avait
opposé Rome aux Italiens, une vingtaine d’années auparavant. Tous les hommes
libres de la péninsule formèrent désormais le populus Romanus. Près de trois siècles
plus tard, en 212 apr. J.-C., Caracalla attribua le bénéfice de la civitas
Romana à tous
les habitants libres de l’empire. Or, durant la période délimitée par ces deux mesures,
les possessions romaines s’étaient étendues bien au-delà des rivages de la Méditerranée.
Cette expansion fut l’oeuvre collective des soldats romains et de leurs chefs.
Garants d’une domination qui se prétendait universelle, et qui avait pour siège la plus
grande ville de l’Antiquité, les princes adaptèrent la Cité au gouvernement du monde.
L’ouvrage retrace cette histoire et restitue la cohérence d’une construction impériale
singulière, qui servit – plus tard – de modèle à bien d’autres empires.
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