Le premier âge du capitalisme, 1415-1763, 1, Le premier âge du capitalisme (1415-1763) Tome 1, L'expansion européenne
EAN13
9782849506851
ISBN
978-2-84950-685-1
Éditeur
Syllepse
Date de publication
Collection
Histoire
Séries
Le premier âge du capitalisme, 1415-1763 (1)
Nombre de pages
700
Dimensions
21 x 15 x 3,6 cm
Poids
890 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

1 - Le premier âge du capitalisme (1415-1763) Tome 1

L'expansion européenne

De

Syllepse

Histoire

Indisponible

Ce livre est en stock chez 3 confrères du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander

Autre version disponible

Autres livres dans la même série

La Chine est en train de retrouver la place qu’elle occupait dans l’économie mondiale. Elle réalisait 25 % du PIB mondial en 1500, selon les estimations d’Angus Maddison, et encore 22 % en 1700. Un niveau qu’elle est en passe de retrouver aujourd’hui (18,7 % en 2018 selon le FMI). À l’heure où se produit ce grand renversement du monde, le retour sur l’histoire de longue période est un éclairage utile. Une question récurrente est alors de savoir pourquoi – et comment – le capitalisme est né en Europe. […]

[Ce] premier tome d’un triptyque monumental qui sera achevé en 2019 examine l’expansion européenne. Son récit démarre en 1415, alors que la flotte portugaise débarque à Ceuta (aujourd’hui une enclave espagnole à la frontière du Maroc), inaugurant ainsi le cycle des «grandes découvertes», et s’achève en 1763, avec la fin de la guerre de Sept Ans et le début de l’hégémonie anglaise.

Ce livre est d’abord une histoire magistrale des deux vagues de l’expansion européenne, d’abord portugaise et espagnole puis, dans un second temps, hollandaise, anglaise et (un peu) française. La colonisation des Amériques, l’encerclement de l’Afrique, comme la difficile pénétration en Asie, ont toutes les trois été menées par des «compagnies à privilège» comme la Compagnie des Indes occidentales hollandaise ou l’East India Company anglaise. Compagnies en principe privées, qui ne peuvent néanmoins se développer que grâce à l’appui de leurs États respectifs, dont elles obtiennent le privilège d’exercer un monopole sur une zone géographique ou une catégorie de produits. […]

Le livre d’Alain Bihr renouvelle […] notre vision du développement du capitalisme et il procure un rare plaisir de lecture, tant il réussit à mêler fresque historique et rigueur conceptuelle.
S'identifier pour envoyer des commentaires.